C’est lors de leur reportage sur les conditions de vie des peluches à notre époque que vos correspondants Thaïlande et Angleterre ont surpris en flagrant délit le travail forcé auxquelles certaines étaient assujetties dans un petit village de Creuse.
Ce sont en tout dix-huit peluches qui ont ainsi pu être libérées grâce aux photos dénonçant leurs conditions de travail :
Les voisins de M. et Mme A. sont toujours sous le choc. Eux qui pensaient ce couple de retraités honnêtes et bienveillants, ils apprennent que ceux-ci ont fondé leur richesse sur la vente de fruits et légumes qu’ils obtenaient pour un coût dérisoire, en exploitant leurs victimes.

En effet, ces pauvres créatures devaient se lever à l’aube pour travailler sans relâche dans leur potager jusqu’à la tombée de la nuit :
Elles étaient ensuite entassées dans le coffre d’une voiture qui leur servait modestement de chambre à coucher :
« Pour certaines cela faisaient plus de 20 ans que cela duraient… »
Mme A. travaillait au Secours Populaire dans les années 80 et c’est sous le prétexte de les raccommoder chez elle, avant de pourvoir les confier à des enfants « adopteurs », qu’elle aurait eu l’opportunité de séquestrer ces êtres vulnérables.
Nous aimerions attirer l’attention de nos lecteurs sur le fait que l’esclavage moderne des peluches n’est pas un fait isolé. Il se déroule souvent sous nos yeux, hélas parfois aveugles. Si vous avez la moindre suspicion à l’égard de quelqu’un dans votre entourage, n’hésitez pas à contacter l’équipe des Vraies News pour qu’ils enquêtent…







